lundi 28 janvier 2013

Raspberry Pi

J'ai mis mon ordinosaure à la benne... une fois la personne avec qui je vie est rentrée du bureau avec un tout nouveau pc portable, quasiment neuf, une version moderne de windows (la 7 version pro, c'est moche comme XP mais moins que la 8 qui est tout carré et avec des couleurs dégueulasses comme la 3.11) installée dessus et pas le droit de le bidouiller... Mais comme point d’accès internet dans le salon, ça fonctionne vachement mieux que la vieille merde bricolée, rafistolée et bricolée que j'avais amoureusement paramétré dans les chapitres qui lui sont consacrés. Donc, sur un coup de tête courageux (que je regrette de temps en temps)... Décharge! Décharge et tristesse. Quoi? Oui, c'est vrais de toute façon la touche [contrôle] ne fonctionnais pas et je pestais comme un fou contre cette bécane dés que je devais quitter une application en ligne de commande.

Heureusement, constatant mon désarrois, certes passager, mais véritable lorsque je me retrouve face à mon pc de bureau que je n'ose pas bricoler comme un fou de peur de ne plus pouvoir le démarrer avant plusieurs semaines. Constatant mon désarrois face au nouveau pc portable "du boulot" qu'il m'est formellement interdit de bidouiller, bricoler, dual-booter ou même virtualiser (quelles craintes abjectes guident ces interdictions?). Constatant mon désarrois, et n'écoutant que son chœur, la personne que j'aime tendrement m'a offert un Raspberry Pi.

C'est beau, petit, mignon, silencieux, pas cher, c'est une bonne action, c'est sans danger,amusant, je me la pète comme un fou à le montrer en photo a tout le monde. Plus qu'à montrer les photos de mes gamins... mon Raspberry Pi.